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mardi, janvier 10, 2012

Banque islamique 

Si on devait exposer en quelques paroles l'originalité de la finance islamique, on dirait qu'elle s'assied en convenance avec le droit musulman sur la condamnation de la marge et l'obligation sociale liée à l'investissement. L'islam proscrit scrupuleusement l'usure, la spéculation ou encore le hasard .


La charia étant au centre du précepte la entretient islamique intervient simplement au coeur des contrats qu'elle entretient ; la banque est cofinanceur et ne s’octroyant pas la capacité d'engendrer des gains, elle s'indemnise sur les produits relatives de l'affaire. Ceci est notable pour les gains de même que les pertes.

Du point de vue de la finance Islamique, la monnaie est et subsiste un modeste intermédiaire d'échange. Cependant, cela n'interdis pas les établissements financiers de préserver des valeurs. C'est simple, l'organisme financier ne peut admettre de créer des excédents seulement dans la configuration où ces derniers sont en amont modifiés en biens palpables.


Ce qu'on appelle le bénéfice bancaire est accepté dans le cadre de la finance islamique si elle résulte d'une des actions qui suivent : vente , participation , location, réalisation.

Dans les engagements de placement, on trouve généralement deux types de clauses typiques expliquant les deux objectifs de l'institution financière .
les clauses financières qui se doivent de décider du tarif, la période et les modalités d'usage et de réapprovisionnement de la ligne de placement

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